Parce que vous êtes trop con ! Simple

La rédaction

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Publié le 28 janvier 202511 min de lecture
Parce que vous êtes trop con ! Simple

Bon, la vérité, c’est que tout ça, c’est une grosse blague. Une farce géante dans laquelle tout le monde joue, mais bien sûr, vous êtes trop con pour voir ce qui se passe vraiment derrière. D’un côté, il y a les universalistes avec leur rêve fou d’un monde sans frontières où l’on impose des idéaux comme si c’était des vérités universelles. De l’autre, il y a les relativistes, qui se demandent depuis longtemps comment on a pu en arriver là. Que ce soit l’idéologie woke, la politique climatique, ou même la réécriture des règles économiques mondiales, tout est une série de décisions maladroites, hypocrites et irréalistes. Alors asseyez-vous bien, voici le show.


BlackRock, Vanguard et les autres : la fuite en avant


Tout commence avec des grandes entreprises (déclenchée par l’arrivée de Trump au pouvoir), comme BlackRock, Vanguard, et Goldman Sachs, Morgan Stanley, citibank, BankofAmerca, WELLS FARGO et J.P.Morgan qui se retirent de l’initiative Net Zero Asset Management (ENZAM). Ah, vous pensiez qu’ils étaient sérieux, ces géants de la finance ? Vous pensiez vraiment qu’ils allaient sauver la planète, que ces fondations d’investissement allaient tout miser sur le climat ? Non, non, non. Ces sociétés ne jouent qu’un jeu : la gagne de l’image.


Ils ont bien compris que la neutralité carbone n’était qu’une façade pour vous faire croire qu’ils se souciaient de l’avenir. Et là, paf ! Ils quittent l’initiative comme des rats quittent un navire en train de couler. Pourquoi ? Parce que cela ne rapporte rien. C’est bien beau d’afficher un joli logo vert, mais à la fin, quand vous êtes en train de jouer avec des milliards, vous préférez quand même que la planète brûle plutôt que de manquer des profits. Les grands de la finance, ces faux amis de l’environnement, ont compris qu’un joli discours écologique ne servait qu’à récupérer des subventions et des crédits d’impôt. Mais la vérité ? Ils se fichent totalement de la planète. Leur seul objectif : maximiser les profits.


Donc, vous voilà là, avec vos belles idées de réduire les gaz à effet de serre et sauver la planète...


L’idéologie woke : la grande farce de l’universalité

L’idéologie woke, ce rêve d’un monde globalisé où tous les humains pensent et agissent de la même manière, relève d’une prétention ahurissante. Ces universalistes veulent imposer une pensée uniforme à l’échelle mondiale, mais leur vision ne tient tout simplement pas la route. Il y a un problème fondamental : l’homme n’est tout simplement pas assez intelligent pour comprendre et gérer un tel projet d’uniformisation mondiale. La complexité humaine et la diversité des cultures et des idées sont tellement vastes qu’aucun groupe, aucune élite intellectuelle, même la plus éclairée, ne peut espérer orchestrer une pensée collective universelle de manière cohérente et efficace.


Les universalistes s’imaginent capables de dicter une norme mondiale sans réaliser que l’humanité n’a pas les moyens cognitifs d’intégrer des paramètres aussi vastes et variés. L’intelligence humaine, avec toute la richesse de ses cultures, de ses croyances et de ses expériences, n’a pas été conçue pour gouverner un système aussi complexe. Ce rêve de gouvernement mondial et d’une pensée homogène est une utopie déconnectée des réalités humaines. Vous croyez vraiment que l’homme est suffisamment évolué pour gérer un tel projet ? Non, il n’est pas assez intelligent pour imposer une pensée unique. L’humanité n’est pas faite pour ça. Nous sommes trop limités pour un projet d’uniformisation à cette échelle. Ce n’est pas une question de mauvaise volonté ou de manque de ressources. C’est une question de biologie cognitive et de complexité humaine. Et cette limite est la plus grande faiblesse de l’idéologie woke.


Ce que les universalistes veulent faire, c’est créer un modèle uniforme qui doit être appliqué à tous, sans tenir compte des contextes locaux, des spécificités culturelles ou des différences individuelles. Mais même si l’intention de « protéger l’humanité » semble noble, imposer un cadre uniforme à toute l’humanité est un non-sens absolu. La réalité des sociétés humaines est bien trop complexe pour être régie par une pensée globale qui prétend détenir la vérité universelle. Ce n’est tout simplement pas possible. Et pourtant, vous avez des individus, des intellectuels et même des gouvernements qui croient que c’est réalisable. Ils ne comprennent pas la limite de l’intelligence humaine.

L’adaptation, c’est aussi une stratégie de survie. Être clivant et avoir des opinions très affirmées, c’est parfois difficile à porter.

Il faut promouvoir un cadre social, qui maximise la liberté individuelle du plus grand nombre, plutôt que de promouvoir une transformation des mentalités du plus grand nombre. Les personnes qui se revendiquent woke représentent une petite minorité. Donc, elles doivent être traitées par les institutions comme telles. Car dans le cas contraire, on risque de mettre en péril l’ordre et la cohésion sociale de l’ensemble. Et cela n’exclut pas la bienveillance. C’est juste que l’on traite les exceptions comme des exceptions.

Relativistes et la souveraineté individuelle : un peu de bon sens

C’est là que les relativistes entrent en scène. Ceux qui comprennent, enfin, que l’individualité et la diversité sont les clés de l’évolution humaine. Parce que, en réalité, l’idée d’une pensée collective mondiale est non seulement irrationnelle, mais aussi incompatible avec la réalité humaine. Si vous regardez un peu plus en profondeur, vous verrez que l’idée même de gouverner la planète par une pensée universelle est absurde et ne peut fonctionner qu’en prônant une réduction de la diversité. La réduction de la pensée est le seul moyen d’uniformiser les comportements, et c’est bien là le problème. L’humanité ne fonctionne pas ainsi. Nous ne sommes pas faits pour avoir un seul mode de pensée, une seule façon de vivre, ou une seule manière de comprendre le monde. Les relativistes le savent : la vraie liberté passe par la reconnaissance de cette diversité. Il faut comprendre que chaque individu doit être le centre de sa propre existence, capable de faire ses choix et de décider de sa trajectoire.


Les relativistes ont compris une vérité simple que les universalistes ignorent : l’individu est toujours le mieux placé pour savoir ce qui est bon pour lui. Qui suis-je pour imposer à quelqu’un de manger une certaine nourriture, de porter un certain vêtement ou même de penser de la même façon que moi ? Ce n’est pas ma place. Chaque individu est un univers à part entière, avec ses propres expériences, son propre passé, ses propres choix. Le relativisme part de ce principe fondamental : la liberté individuelle doit primer. Oui, il est vrai que parfois, le collectif doit intervenir pour organiser des choses comme la défense nationale ou la gestion de crises sanitaires, mais ces interventions doivent toujours se faire à un niveau local ou régional. Plus vous vous éloignez de l’individu dans les prises de décisions, plus vous perdez en légitimité.


Vous allez probablement dire : « Mais, si tout le monde fait ce qu’il veut, cela va entraîner le chaos ! » Détrompez-vous. C’est exactement l’inverse. Le chaos vient de la tentative d’imposer des règles universelles à des peuples, des cultures et des individus qui ont des réalités totalement différentes. Ce n’est pas l’individualisme qui mène au chaos, mais la centralisation excessive du pouvoir. En réalité, ce sont les décisions prises localement, à l’échelle de chaque individu, de chaque communauté, qui conduiront à une véritable harmonie sociale. Chaque personne, chaque culture, chaque micro-société sait mieux ce qui lui convient. Cette décentralisation du pouvoir est non seulement plus efficace, mais elle est aussi plus morale. Le problème, c’est que l’idéalisme universaliste refuse cette réalité, pensant qu’il peut imposer une pensée globale sans jamais se rendre compte des limites humaines. L’humanité, dans son ensemble, n’est pas assez intelligente pour comprendre cette complexité à l’échelle mondiale, et chaque tentative pour le faire échouera toujours dans le même désastre. Vous voulez un monde mieux organisé ? Commencez par laisser les gens être eux-mêmes et prendre leurs propres décisions.


Conclusion


Rien ne sert de chercher des solutions mondiales uniformes aux problèmes de l’humanité. Ce sont les principes de décentralisation, d’individualité et d’adaptation locale qui permettent de réellement avancer. Alors, préparez-vous à la suite : la deuxième partie va vous montrer à quel point ces belles idées mondiales sont déconnectées de la réalité. Parce qu’au fond, vous n’avez encore rien vu.

Le climat : décarbonation ou hypocrisie mondiale ?


Ah, le climat… Ce sujet qui fait couler beaucoup d’encre et occupe les discussions mondiales depuis des années. Vous entendrez partout que la décarbonation est la solution. L’Europe se vante de réduire ses émissions de CO2 pour sauver la planète. Mais derrière cet écran de fumée, un gros problème persiste. Si l’on prend le temps de regarder de plus près, on découvre que les émissions de CO2 ont simplement été déplacées, pas réellement réduites. Quand l’Europe ferme ses usines polluantes, devinez où elles vont ? En Chine, en Inde, en Afrique, dans des pays avec des standards environnementaux bien plus faibles. Résultat : la pollution continue, mais l’Europe peut se vanter d’avoir une empreinte carbone propre. Bravo. Ce qui compte vraiment, c’est que les produits consommés viennent de pays qui polluent toujours massivement.


Les universalistes veulent une régulation mondiale, des politiques globales où chaque pays, chaque nation devrait se soumettre à une norme unique, avec des quotas de CO2, des taxes carbone, des restrictions d’émissions… Un grand accord mondial pour sauver la planète. Mais à quoi sert une régulation mondiale quand les plus grands pollueurs refusent de jouer le jeu ? En attendant que l’Europe réduise ses émissions, la Chine et l’Inde augmentent les leurs, et les pays en développement ont bien d’autres priorités que de suivre les normes européennes.


Les universalistes insistent : “Le climat est un problème mondial. Il faut des solutions mondiales.” C’est bien beau, mais faut-il vraiment croire que la Chine va arrêter de produire à bas coût pour réduire ses émissions ? Ou que l’Inde ralentira son industrialisation pour plaire aux pays déjà développés ? Non. Et en Europe, les citoyens vont encore payer sous forme de taxes et de restrictions, sans que cela ait un réel impact global.


La décarbonation mondiale, c’est une illusion, une mascarade. Les politiques de décarbonation à l’échelle mondiale ne servent à rien, parce qu’elles ignorent la réalité économique et géopolitique. Imposer des règles uniques à des pays qui ne les respecteront pas crée seulement une illusion de progrès. Pendant ce temps, d’autres continuent de polluer sans contrainte. La planète sauvée ? Non, le problème a juste été déplacé.


Les relativistes : l’adaptation, pas l’uniformisation


Les relativistes, eux, ont compris ce que les universalistes ne veulent pas voir : la solution au changement climatique ne réside pas dans une politique uniforme. Il faut parler d’adaptation locale. Chaque pays, chaque région doit pouvoir s’adapter aux changements climatiques selon ses spécificités, en fonction de son développement, de ses ressources naturelles, et de ses capacités économiques. Les politiques mondiales, aussi bien intentionnées soient-elles, ne fonctionneront pas. Elles ignorent les réalités géopolitiques et les disparités entre pays.


Prenons l’exemple de l’Afrique. Un pays comme le Niger, qui lutte contre la pauvreté et les maladies, aura du mal à se concentrer sur la réduction des émissions de CO2 alors qu’il doit développer son infrastructure et améliorer le niveau de vie de sa population. En Europe, on réduit les émissions et on se vante de ce modèle, mais avez-vous pris en compte que pendant ce temps, des millions de personnes dans des pays en développement vivent dans des conditions extrêmes, sans accès à l’électricité ou à l’eau potable ? Croire qu’une politique de décarbonation mondiale va résoudre ces problèmes est absurde.


Les relativistes croient qu’il faut cesser d’imposer une norme unique à tous. Chaque territoire doit pouvoir gérer ses propres ressources et défis climatiques. Croire que l’uniformisation écologiste résoudra le problème ? L’Europe a déjà fait sa part en matière de réduction des émissions, mais l’impact global reste marginal. Pourquoi ? Parce que la décarbonation mondiale est une utopie. Vous ne pouvez pas imposer des règles globales pendant que des pays comme la Chine, l’Inde, ou les États-Unis font tout l’inverse.


Les politiques écologiques doivent être décentralisées et adaptées aux réalités locales. Le climat est un problème complexe et multidimensionnel. Mais ce n’est pas en imposant un modèle monolithique que la solution sera trouvée. Il faut respecter les particularités locales dans la gestion de l’eau, de l’énergie ou des ressources naturelles. Ce n’est certainement pas avec des quotas mondiaux que vous obtiendrez des résultats concrets.


Conclusion : L’adaptation, la seule vraie solution


Au final, l’hypocrisie des politiques climatiques et des rêves de régulation mondiale n’est rien d’autre que de la poudre aux yeux. L’adaptation au changement est la seule vraie solution. Vous pouvez continuer à rêver d’un monde plus juste et plus vert, mais la réalité est que l’individualisme, la souveraineté locale et l’adaptation aux enjeux spécifiques sont la clé. Mais bien sûr, vous êtes trop con pour comprendre tout ça, et vous continuerez à suivre ceux qui vous promettent un monde meilleur tout en vous faisant payer leur vision déconnectée de la réalité.


Vous avez encore des questions ? Peut-être que vous êtes trop con pour comprendre, mais on peut toujours essayer de vous expliquer.


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